C’est en apprenant l’étrange assassinat de leur ami le professeur Latulipe que le détective Achille Navet et son fidèle acolyte Basil décident de mener leur enquête. Accompagnés par la belle archéologue Arielle et l’attachant capitaine Gamaret, nos deux héros sont alors embarqués dans une aventure rocambolesque. Leur quête va les mener jusqu’à la légende d’un pirate du Léman et d’une partition codée, menant peut-être à un fabuleux trésor…
A la trace
Avec « A la trace », la compagnie « Edelweiss Loisirs » se propose d’aborder une oeuvre contemporaine.
Le choix s’est porté sur un texte de Alexandra Badea, jeune auteure née en 1980.
La pièce nous permet de rencontrer Clara, une jeune femme dont le père vient de mourir. Clara découvre en faisant du tri dans son bureau la carte électorale d’une femme dont elle ignore tout : Anna Girardin.
Elle décide de se mettre à la recherche de cette mystérieuse inconnue. Simple curiosité ou intuition ?
Triphrase
Triphrasé est un spectacle où la poésie du cirque se mêle au théâtre du mouvement. À travers des numéros acrobatiques saisissants et des scènes surprenantes, 7 circacien.ne.s explorent la manière dont nos actions et nos choix peuvent résonner, laissant une empreinte mystérieuse dans le temps.
L’Avare
Dans L’Avare, l’argent est le nerf de la guerre. Il détermine les êtres, qu’ils soient vieux ou jeunes, riches ou sans le sou, avares ou prodigues, et s’insinue au cœur des rapports humains. Cette grande comédie créée en 1668 met en scène un univers où tout n’est que contrats, et où tout a un prix : manger, boire, se vêtir, aimer, ne pas mourir ; un monde où les sentiments filiaux sont sapés par le vice pathologique d’un homme qui n’est pas seulement avare, mais aussi convoiteux et paranoïaque. Et le vice aura le dernier mot. L’Avare, pièce morale ? La question mérite d’être posée.
Olivier Masson doit-il mourir ?
Un infirmer euthanasie son patient après des années de coma. Deux figures de la famille du défunt, sa femme et sa mère, affrontent la mort d’Olivier Masson de façons opposées. La première souhaite comprendre le geste de l’infirmier, mais est soulagée que son mari ait été libéré de son corps, alors que la deuxième souhaite la condamnation de l’infirmier, qu’elle considère comme le meurtrier de son fils.




